Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

JoSeseSeko

JoSeseSeko

"Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons, mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont." Cette phrase résume une recherche de vérité, de développer de l'information sur une variété de sujets, notamment l'économie, la politique et l'histoire. Et ce, dans plusieurs pays du monde.


Un déni d'opinion

Publié par JoSeseSeko sur 18 Septembre 2012, 17:20pm

Catégories : #Élections, #PS, #Hollande, #FDG, #FN, #parrainages, #France, #Europe

Voici un article datant du 16 février 2012, durant la campagne présidentielle en France:

Plus la campagne avance, plus les dénis d'opinion se font.
Après la possibilité que le FN, par sa présidente et candidate Marine Le Pen, fille de Jean-Marie Le Pen, ne puisse être représenté à l'élection présidentielle du 22 avril prochain, par manque de parrainages nécessaires (500 minimum) d'élus d'ici le 16 mars prochain, alors qu'elle a 20% d'intentions de vote, selon les sondages (qui valent ce qui valent), ce qui ferait plaisir aux candidats François Hollande et Nicolas Sarkozy mais serait un gage d'une catastrophe d'un autre côté mais, voici un autre déni, venant d'une petite phrase.
Celle de François Hollande, le candidat du Parti Socialiste et favori pour la présidence de la République, déclarant au Guardian lundi dernier qu'il n'y a plus, ou plus tellement de communistes en France par rapport à l'élection de François Mitterrand en 1981, de façon à rassurer la City selon le quotidien britannique. Or, le Parti Communiste compte encore 130 000 militants et est une des bases du Front de Gauche (alliance entre le PC, le Parti de Gauche et Gauche Unitaire), dont le candidat Jean-Luc Mélenchon, président du Parti de Gauche, est tout de même crédité de 7-8% des intentions de vote au premier tour, selon les sondages.
Venant de la part de quelqu'un qui veut proposer le changement par rapport à la présidence Sarkozy, ce dernier s'étant déclaré candidat à sa réélection hier soir, ça sent que les 2 principaux candidats et leurs partis respectifs comptent de plus en plus s'inspirer des modèles bipartites anglo-américain, très consensuels et mouillés jusqu'au coup, faisant la sourde oreille à la base d'un État démocratique (le peuple) et cela se paie un jour où l'autre. Ça s'est vu, en plus d'un contexte de crise actuelle.
Comme le disait Marx: "Celui qui ne connait pas l'histoire est condamné à la revivre!"

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents