English version:
A couple of days ago, the National Assembly adopted a bill of the government, and more precisely, of Geneviève Fioraso, minister of Higher Education and Research, which extended the possibility to make curses in English or other languages (Spanish, German, Italian, Chinese, etc.) at university, considering that French students are too bad in languages, especially in English, a huge brake in professional life according to different studies in the European Union; considering that curses in French are too important, and also, according to the minister, the bill is a way to attract more students coming from emerging countries (Brazil, Russia, India, China, South Africa, Mexico and so on) in French colleges.
Personally, during this first year of Master’s degree in International Economics and Globalisation at Paris 1 Pantheon-Sorbonne, I followed some curses in English such as Economic Policy or Emerging Economies for instance and exams were in English also, consequently, the bill does not change everything in my field of knowledge, where English language has a major role in the program. However, I consider this bill may not respond to the low level of French students in English for at least 2 reasons: It’s too late, and thus not efficient, to involve English level of French student by extending curses in this language at university! A better way would be extending time for English lessons earlier; it means junior school and high school. So, the bill would have to concern Vincent Peillon, minister of National Education. Here is the first reason. The second one is a new defeat for French language against English, organised by French authorities, and thus, there is no incentives for foreign students to be attracted by French universities whereas French language is spoken in the 5 continents, like English language, and in India for instance, some curses are given in French, even if the colonial past between France and India was weaker than that between Great Britain and India. What an irony!
Versión española:
Hace dos días, la asamblea nacional adoptó un proyecto de ley del gobierno, y más precisamente, de Geneviève Fioraso, ministra de la enseñanza superior y de la investigación, que extendió la posibilidad de hacer cursos en inglés u otros idiomas (español, alemán, italiano, chino, etc.) en la universidad, considerando que los estudiantes franceses son demasiado malos en idiomas, particularmente en inglés, un freno enorme en la vida profesional según diferentes estudios en la Unión Europea; considerando que los cursos en francés son demasiado importantes, y también según la ministra, el proyecto de ley es un medio para atraer más estudiantes viniendo de economías emergentes (Brasil, Rusia, India, China, Sud África, México, etc.) en universidades francesas.
Personalmente, durante mi primer año de Master en Economía Internacional y Globalización en Paris 1 Panthéon-Sorbonne, seguí cursos en Inglés tales como Economic Policy o Emerging Economies por ejemplo y los exámenes fueron también en Inglés, por consiguiente, el proyecto de ley no cambia todo en mi campo de conocimientos, donde el idioma inglés tiene un gran papel en el programo. Sin embargo, considero que este proyecto de ley no puede responder al nivel débil de los estudiantes franceses en inglés por lo menos por dos razones: ¡Es demasiado tarde, y así no eficaz, de aumentar el nivel de los estudiantes franceses en inglés al extender cursos en este idioma en la universidad! Una mejor solución es una extensión de tiempo de cursos en inglés para los más jóvenes, es decir, al colegio y al instituto. Entonces, el proyecto de ley tendría que concernir Vincent Peillon, ministro de la Educación nacional. He aquí la primera razón. La secunda es (para mi) una nueva derrota del idioma francés contra el idioma inglés, organizada por las autoridades francesas, y así, no haya incitaciones para estudiantes extranjeros de estar atraídos por las universidades francesas mientras que el francés sea hablado en los 5 continentes, como el inglés, y en India por ejemplo, algunos cursos son dados en francés, aunque el pasado colonial entre Francia e India fue más bajo que él entre Gran Britania e India. ¡Cual ironía!
Version française:
Il y a deux jours, l’Assemblée Nationale a adopté un projet de loi du gouvernement, et plus précisément, de Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, qui a étendu la possibilité de faire davantage de cours en anglais ou dans d’autres langues (espagnol, allemand, italien, chinois, etc.) à l’université, considérant que les étudiants français sont trop mauvais en langues, plus particulièrement en anglais, un énorme frein dans la vie professionnelle selon différentes études dans l’Union Européenne ; considérant que les cours en français sont trop importants et aussi selon la ministre, le projet de loi est un moyen d’attirer davantage d’étudiants venant des économies émergentes (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud, Mexique, etc.) dans les facultés françaises.
Personnellement, durant mon M1 en Économie Internationale et Globalisation qui a eu lieu cette année à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, j’ai suivi des cours en anglais tels qu’Economic Policy ou Emerging Economies par exemple et les examens furent en anglais, par conséquent, le projet de loi ne change en rien dans mon champ de connaissances, où l’anglais tient une place centrale. Cependant, je considère que ce projet de loi ne peut pas répondre au faible niveau des étudiants français dans la langue de Shakespeare pour au moins deux raisons : c’est trop tard, et ainsi peu efficace, d’améliorer le niveau d’anglais des étudiants français en étendant les cours dans cette langue à la fac ! Une meilleure solution est un accroissement du temps consacré à l’anglais aux plus jeunes, c’est-à-dire, au collège et au lycée. Donc, le projet de loi devrait plutôt concerner Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale. Voici la première raison. La seconde est (selon moi) une nouvelle défaite de la langue française face à la langue anglaise, organisée par les autorités françaises, et ainsi, il n’y a pas d’incitations pour les étudiants étrangers d’être attirés par les facs françaises, alors que le français est parlé dans les 5 continents, comme l’anglais, et qu’en Inde par exemple, quelques cours sont donnés en français même si le passé colonial entre la France et l’Inde est plus faible que celui entre la Grande-Bretagne et l’Inde. Quelle ironie !
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